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Élection présidentielle - Page 6

  • Des tas de raisons de voter Sarkozy et contre l’euthanasie !

     

     

    Personnel débordé, patients négligés : à Poissy, l’hôpital « part en sucette »

    Ramses Kefi | Journaliste SOS 02/05/2012 à 12h52   RUE 89

     


    ImprimerVictime d’une logique de réduction des coûts – encore plus criante en banlieue – voulue par la loi Bachelot, cet hôpital des Yvelines « fait flipper ».

     

    Mariam, 26 ans, jure qu’elle pourrait « balancer » des dizaines d’histoires sur l’hôpital de Poissy (Yvelines). Si elle était « friquée », elle ne mettrait pas les pieds dans « cette cour des Miracles ». Qu’elle irait se faire soigner à la clinique, « pour échapper à la descente aux enfers du public ».

    Elle raconte les cinq heures passées avec son père, en janvier dernier, aux urgences de Poissy :

    « C’est un vieillard. Le pauvre grelottait. On avait mis son lit près des toilettes, parce qu’il n’y avait plus de place. L’odeur, le froid étaient insupportables.

    On ne lui avait donné qu’un drap pour se couvrir. J’ai demandé des couvertures, on m’a dit qu’il y en avait pas. J’ai demandé d’autres draps, on m’a dit la même chose. J’ai gueulé, puis je me suis rendu compte que tout le monde s’en foutait. Cela paraissait presque normal. Cet hosto fait flipper. »

    « Une ambiance de mauvais polar »

    En 1997, l’hôpital de Poissy a fusionné avec celui de la ville voisine de Saint-Germain-en-Laye, formant l’une des structures hospitalières les plus importantes d’Ile-de-France : environ 4 000 personnes employées, 1 200 lits, pour un bassin de population de plus de 600 000 habitants. L’une des plus mal gérées et des plus tourmentées aussi. La première préoccupation des personnes rencontrées est d’éviter à tout prix cet établissement.

    En plus des énormes dettes et du déficit de l’établissement, un rapport de la Direction départementale des affaires sanitaires sociales (DDASS) a mis en lumière, en 2009, des malversations et des irrégularités dans l’attribution de marchés publics. Le point de départ de plusieurs enquêtes et d’un long feuilleton.

    Directeurs évincés, procédures judiciaires qui traînent, soupçons autour de politiciens locaux et, récemment, projet de déménagement de l’établissement dans la commune voisine de Chambourcy mis en suspens.

    Début 2011, Le Point décrivait un hôpital où « l’intérêt du patient passe en second », Le Parisien « une ambiance de mauvais polar » et « un gâchis ».

    « En sortant, tu ne sais pas si tu as été bien soigné »

    Le mot « gâchis » reviendra plusieurs fois dans la bouche de Mariam, qui ne veut cependant pas accabler le personnel dans son témoignage :

    « En regardant les aides-soignants, les infirmières et les médecins, on comprend qu’ils n’y peuvent pas grand-chose. Tu y entres et en sortant, tu ne sais même pas si tu as été bien soigné. »

    Lucile Cranney, infirmière et membre du syndicat SUD de l’hôpital, confirme : « Cet hôpital part en sucette. »

    Sur les urgences de Poissy, régulièrement pointées du doigt par les usagers, elle dira qu’elles sont à l’image de l’établissement :

    « Les locaux des urgences ne sont même plus adaptés puisqu’avec la fermeture pour raison économique de celles de Saint-Germain-en-Laye la nuit et les week-ends, nous devons tout assumer. Sans moyens humains et économiques supplémentaires. »

    Khadija, 52 ans, habite « dans le coin » depuis 1984. Opérée du pied en 2010, puis de la hanche en 2011, elle soupire :

    « Les médecins n’ont même plus le temps de communiquer, ni de vous expliquer correctement, car une seule chose les obsède : vous réexpédier chez vous par tous les moyens, parfois sans diagnostic.

    J’ai connu cet hôpital dans les années 80 et 90. Je peux dire sans trop m’avancer que les conditions pour les patients étaient meilleures. »

    Absentéisme et dépression chez le personnel

    Le récit de Florent, 29 ans, originaire de la commune voisine d’Achères, est le même. A quelques mots près :

    « C’était un week-end en début d’année. J’avais chopé la mononucléose. J’étais à bout. Je l’ai appris par mon médecin traitant le lundi, qui ne m’a pas cru quand je lui ai dit qu’à Poissy, le samedi soir, ils m’avaient prescrit du Doliprane et du repos.

    Le médecin qui m’a ausculté là-bas était plus crevé que moi. Il n’avait qu’une envie : que je dégage. »

    « Le personnel qui a des diplômes et qui peut se vendre ailleurs s’enfuit, sans vraiment être remplacé », glisse Lucile Cranney. La fuite du personnel, des compétences, mais pas seulement :

    « La politique du chiffre à court terme, c’est plus de contractuels, plus de CDD. Parmi les médecins aux urgences, beaucoup ne sont que vacataires. Le taux d’absentéisme est important, celui de dépression aussi. Les rapports avec la nouvelle direction sont très compliqués. [...]

    On a oublié les desseins premiers de l’hôpital. C’est devenu une entreprise comme une autre. On parle de santé là ! »

    « Les économies ne se font jamais au détriment des usagers »

    Si le nouveau directeur de l’hôpital de Poissy-Saint-Germain, Yves Bloch, reconnaît une baisse du « personnel non qualifié », il refuse néanmoins de lier le malaise des patients et du personnel à la situation économique de l’établissement :

    « Tous les établissements doivent faire avec le budget serré, mais les économies ne se font jamais au détriment des usagers. Il est clair néanmoins que nous ne travaillons pas dans les conditions matérielles que nous voudrions, bien que notre ambition soit d’être toujours au niveau. »

    Il se projette vers 2014 et l’ouverture, hypothétique, d’un nouveau bâtiment, plus grand, plus adapté pour accueillir les urgences de Poissy. Dit que dans certains cas, l’urgentiste est dans l’impossibilité d’établir un diagnostic clair, « parce que les choses mettent parfois plusieurs jours à être visibles ». Qu’’il reçoit, parfois, des lettres de remerciements.

    Supprimer la loi Bachelot

    Je lui fais part de certains témoignages. Celui de Mariam notamment. L’histoire des couvertures :

    « Je ne nie pas les difficultés et m’en excuse d’ailleurs auprès des patients. [...]

    Sans remettre en cause les réclamations, il est vrai aussi que lorsque que quelqu’un vient aux urgences, il s’attend – et c’est humain – que l’on s’occupe de lui tout de suite. Il voit tout négativement, parce que son état l’y encourage. »

    En septembre 2011, un collectif regroupant usagers, personnel de l’hôpital et associations s’est formé pour la défense de l’hôpital de Poissy-Saint-Germain. Il milite, entre autres, pour la réouverture 24 heures sur 24 des urgences de Saint-Germain-en-Laye et la suppression de la loi Hôpital, patients, santé et territoires de 2008, promulguée pour ramener l’hôpital public à l’équilibre budgétaire.

    « Demain, il n’y aura peut-être plus d’hôpital public »

    Fabienne Lauret, retraitée et membre du collectif, dénonce une volonté « très claire » de sacrifier « le public au profit du privé » et de booster l’activité des cliniques :

    « On met en concurrence les hôpitaux et on privatise les services les plus rentables de l’hôpital public. On ne prend ni en compte les besoins de la population, ni ceux du personnel.

    On est dans une logique de réduction des coûts complètement aveugle, décidée arbitrairement, sans aucune concertation. »

    Dans Le Courrier des Yvelines du 7 décembre 2011, les mots de Christian Lehmann, écrivain et médecin généraliste à Poissy, étaient plus durs :

    « Il est peut-être déjà trop tard. Demain, il n’y aura plus de médecine tournée vers l’individu, plus de médecine générale, plus d’hôpital public. Vous serez soignés comme vous avez été vaccinés contre H1N1. Un mélange d’étatisme et d’incompétence. »

    Banlieues : « Nous sommes au bord de la catastrophe sanitaire »

    Joselyne Rousseau et Josselyne Buruchian | Présidentes de l’Association des Professionnels Libéraux de Santé de Pierrefitte et de Stains


    Présidentes de l’Association des professionnels libéraux de santé de Pierrefitte et de Stains (Seine-Saint-Denis), nous dénonçons depuis douze ans les problèmes d’insécurité que rencontrent les praticiens de santé de proximité de ces villes. Ces violences, commises par des mineurs, souvent armés, aggravent de façon considérable la désertification médicale et para-médicale de nos communes, mettant en péril l’équilibre déjà précaire de la santé de proximité sur ce territoire.

    En 2011, ces deux communes ont perdu 10% de leurs professionnels de santé. Avec un médecin libéral pour 3 000 habitants (la moyenne étant de 1/1000), Pierrefitte est reconnue comme un véritable « désert médical ».

    Nous, professionnels de santé, sommes incontournables :

    • dans le maintien à domicile de patients présentant des pathologies complexes et des personnes âgées ou en fin de vie ;
    • dans l’alerte sur la résurgence de maladies graves (tuberculose, saturnisme) ou d’éventuelles épidémies locales ;
    • à l’heure où les urgences des hôpitaux sont engorgées, nous assurons un rôle de premier recours dans les situations sensibles et constituons de ce fait un facteur important de cohésion sociale.

    Les politiques se renvoient la balle

    Depuis novembre 2009, nous ne cessons d’interpeller les pouvoirs publics sur notre rôle sanitaire et social. En vain.

    En avril 2011, nous avons rencontré le ministre de la Santé, Xavier Bertrand, qui nous a assuré que la désertification médicale n’était pas une fatalité et qu’il avait besoin que nous restions. Mais en dehors de ces bonnes paroles rien d’effectif n’a été entrepris.

    En juin 2011, nous avons rencontré le directeur de l’Agence régionale de santé, Claude Evin qui, hormis la création de maisons médicales ne nous propose rien de concret.

    En désespoir de cause, en janvier 2012, nous avons une nouvelle fois écrit au président Sarkozy... qui nous a renvoyés à Xavier Bertrand... qui nous a dirigés vers Claude Evin. La boucle est bouclée !

    Finalement, nous avons rencontré le 7 mars dernier, la conseillère technique de Xavier Bertrand. Que nous propose-t-on ? Encore et toujours des maisons pluridisciplinaires qui ne sont ni une solution rapide à mettre en place, ni une solution aux agressions. Cela ne résoudra en rien le problème des visites à domicile.

    Enfin elle nous a clairement annoncé que si nous ne voulions plus assurer notre mission, nous étions libres de partir. D’ailleurs, d’autres professionnels de santé étrangers n’hésiteraient pas à venir dans nos banlieues, nous dit-on. Expérience déjà tentée, or les dits professionnels ne sont pas restés pour autant sur leur lieu d’exercice.

    Parallèlement, nous avons contacté Jean-Marie Le Guen, responsable des questions de santé au Parti socialiste, qui nous a dirigés vers un responsable de son parti. Vérification faite ce responsable n’est pas connu en France !

    Lutter contre l’insécurité et la désertification

    Où se situe l’égalité dans l’accès aux soins tant demandée par tous les candidats politiques ? En douze ans, nous avons obtenu un carnet de sécurité, un numéro dédié à dix chiffres, un référent santé au commissariat que les professionnels de santé avertissent en cas d’agression.

    Tout cela est loin d’être efficient, notamment en prévention des agressions. Ce que nous réclamons :

    Pour assurer notre sécurité :

    • un numéro dédié à quatre chiffres ;
    • la mise en place de bips de sécurité en cas de danger ou d’agression ;
    • une vidéosurveillance à des points stratégiques afin de créer un maillage ;
    • un meilleur éclairage de nos communes (certaines rues sont de vrais « coupe-gorge »).

    Pour lutter contre la désertification :

    • des mesures fiscales pour maintenir le maigre tissu de proximité de santé libéral existant sur le territoire ;
    • la reconnaissance de nos agressions en accident de travail…

    Que deviendra dans un très proche avenir cette population laissée à l’abandon une fois que le tissu libéral de proximité aura définitivement disparu en raison de l’indifférence générale de nos « irresponsables politiques » ?

    Nos limites sont largement atteintes : il y a urgence ! L’hémorragie de professionnels de santé ne sera plus rattrapable ! Nous sommes au bord de la catastrophe sanitaire !

    Xyzabcd !

     

  • La Gauche arrive (de peu) à éviter le gain de la présidence ! OUF !

     

    La gauche est obligée d’avoir recours au spécialiste du timing : « Julien » (Dray) pour ne pas sombrer dans la crise, voire le tsunami économique, qui s’annoncent !

    Mais ce n’est pas une première !  Ils ont l’habitude ! Cela fait déjà 5 ans qu’ils évitent astucieusement, au dernier moment, de gagner le pouvoir !

    En 2012, toujours plus imaginatifs, le 28/04/12,  à environ une semaine du scrutin présidentiel du 6 mai, ils ont fait appel à un expert en horlogerie qui, en se forçant, en ameutant la presse, vient  de brillamment réussir !

    *** Comme la crise va forcément « toujours plus » s’intensifier, dans l’intérêt de la France, il sera effectivement beaucoup plus sain, positif, de se révolter contre un petit Napoléon que contre des Flanbis & cie !

    « Pataquès à l'anniversaire de Julien Dray : DSK était invité Le Monde.fr avec AFP  29.04.2012 »

    Le député PS Julien Dray a convié samedi soir dans un bar parisien Ségolène Royal, Manuel Valls et Pierre Moscovici notamment, pour fêter son anniversaire mais sans les avertir de la présence de Dominique Strauss-Kahn parmi les convives, ce qui a provoqué leur départ.

    L'existence de cette rencontre a été révélée samedi soir sur Twitter par le journaliste du Point, Saïd Mahrane, qui a posté sur son compte deux photos, l'une DSK et l'autre de Manuel Valls, directeur de la communication de François Hollande.

    Le PS a indiqué que Julien Dray fêtait son anniversaire dans un bar de la rue Saint-Denis, mais n'avait pas prévenu les autres invités de la venue de l'ancien directeur général du Fond monétaire international.

    En l'apprenant Ségolène Royal, Manuel Valls et Pierre Moscovici, directeur de la campagne de François Hollande, seraient repartis aussitôt et n'auraient « pas croisé » M. Strauss-Kahn.

    LA COLÈRE DE SÉGOLÈNE ROYAL

    « Dire que j'aurai rencontré Dominique Strauss-Kahn à cette occasion serait diffamatoire », a prévenu Mme Royal.

    « Je suis allée dans ce bar avec ma fille fêter l'anniversaire de Julien Dray, nos enfants sont amis, mais je ne savais pas que Dominique Strauss-Kahn était également invité.

    En l'apprenant, nous sommes tout de suite reparties et nous ne l'avons pas croisé », a-t-elle ajouté, en soulignant que M. Valls en avait fait autant.

    Elle a jugé  « inadmissible » que Julien Dray ne lui ai rien dit avant.

    Cette invitation intervenait à la veille du grand meeting parisien du candidat socialiste à la présidentielle.

     

    Le scénario est habile.

    -M. Dray étant né le 5 mars et DSK le 25 avril, la réunion prétexte a eu lieu le 28 avril !

    -Quant au bistrot, bien sûr, il devait se trouver forcément rue Saint-Denis !

    -Seul Dodo la Saumure manquait ... parce que occupé ailleurs ! Mais il était impossible de l’attendre.

    M. Dray, espère faire d’une pierre deux coups. Parvenant à prouver de nouveau qu’il est un expert de l'espace temporel, il souhaiterait, soi-disant, devenir ministre de l’intérieur ?

    LE COMBLE DE L’HISTOIRE VAUDEVILLESQUE !

    -M. Sarkozy ne manquera pas de les remercier en conséquence !

    -Et  la catastrophe économique ne faisant que commencer, il ne tardera pas à saisir le pétrin (ou ….) dans lequel il s’est plongé et où il risque de s’engloutir ! 

    Un peu comme l’insecte tout heureux de se délecter dans le miel avant de s’apercevoir qu’il est pris au piège, dans l’impossibilité de s’en dégager !

    Il ne terminera pas son quinquennat  dans le calme mais  dans des tensions et affrontements civils « toujours plus » délétères

    Xyzabcd !

     

     

  • Mes /Mrs les journalistes, comme en 2007, vous pouvez désigner le président de la République de 2012!

     

    Je viens d'envoyer, pour m'amuser ou me moquer, inutilement mais ..., aux différents médias ... ce truc !

    De … … abonné

    Bonjour,

    (Le masculin neutre sera utilisé)

    Mesdames et Messieurs les journalistes, vous avez de nouveau, comme en 2007, le pouvoir de désigner le prochain président de la République !

    En 2007, vous avez implicitement choisi M. Sarkozy en ne créant pas un buzz autour de la phrase prononcée devant M. Onfray (Nettement avant le face-à-face !) : « Je n'ai jamais rien entendu d'aussi absurde que la phrase de Socrate : Connais-toi toi-même ».


    Il me semble que n’importe quelle personne (A part M. Sarkozy et les croyant(e)s intégristes) a conscience que, quand on ne se connaît pas, on réagit au grès de son Inconscient !


    Si Me Royal avait interpellé M. Sarkozy pendant le face-à-face en lui demandant : « Affirmez-vous que le meilleur moyen d’utiliser un  appareil hyper sophistiqué est d’improviser et de ne pas disposer du mode d’emploi », il aurait été obligé d’expliquer que c’était DIEU qui guidait les humains, qu’il suffisait de suivre ses impulsions, son instinct et son intuition !
    *Les Français(es) n’auraient alors absolument pas gobé son « histoire de bon Dieu » ou « de Père Noël » ! Et donc ne l’auraient pas élu !

    **A noter aussi qu’aucun(e) responsable politique, syndicaliste, révolutionnaire, marxiste, athée, matérialiste, rationaliste, n’a profité de cette imputation au moins paradoxale pour le déstabiliser !

    En 2012, vous vous êtes abstenus de commenter la théâtralisation de l’arrestation du tueur de Toulouse ! La Police connaissait me mardi soir l’endroit où le tueur résidait. Il suffisait donc d’attendre sa sortie pour le cueillir en douceur, d’autant plus qu’il était sorti téléphoner vers   1 h du matin et avait déclaré à la journaliste de France 24 qu’il s’apprêtait à prolonger ses  actes de terrorisme !

    Flanby, le Mousquetaire Mélenchon, ont couvert ou approuvé le spectacle ! ! !

    Si les Guignols ne manquent pas de brocarder l’Artiste Pinocchio, le « président du peuple », le « président des pauvres », vous pourriez au moins signaler à vos lecteurs retraités que dans le contexte de crise, faute d’euthanasie, voter pour Sarkozy revient à réclamer la crucifixion !

    Ci-joint un texte que je viens d’utiliser …

    Ce que les vieilles, vieux, retraité(e)s, qui voteront pour M. Sarkozy doivent savoir !

    (Le masculin neutre sera utilisé)

    CE QUE M. SARKOZY NE VOUS DIT PAS, NE PEUT PAS VOUS AVOUER !

    A) Voter SARKOZY, c’est, indirectement, voter pour la « BOMBE ATOMIQUE » (Boutin !)

    Elle a passé un accord (Sous l’œil de Dieu ! ! !) avec M. Sarkozy obligé d’accepter pour obtenir les voix des démocrates chrétiens et être réélu … ! ! !

    Avec elle, le contrat établi … et son esprit totalement rétrograde (V. ses déclarations sur les plateaux TV, notamment quand elle a quasiment insulté Me Sébire qui sollicitait auprès de M. Sarkozy le droit de mourir !), nous sommes sûrs, non pas de gagner le « paradis » sans souffrance mais l’inverse !

    Les catholiques dominants, « nobles », ont toujours aimé la souffrance pour les petits (Par association d’idées, le visage de Me Boutin quand elle est énervée, voire hystérique, ne rappelle-t-elle pas l’Inquisition, les papes qui l’ont soutenue pendant des siècles en Espagne, etc. ? ! La Monarchie et Le Vatican ami des riches ou/et des puissants ? ! Voir aussi son visage démoniaque ou de Méphistophélès !)

    B) A moins de ne pas lire des articles sérieux, nous savons que nous ne sommes pas sortis de la CRISE mais que ce n’est qu’un début !

    La Révolution communiste a échoué parce que basée sur le rationalisme, sur le postulat de « l’homme rationnel » !

    On sait depuis 2005 qu’il n’en est rien, que notre génome diffère d’environ 1 % de celui du chimpanzé !

    *Les politiciens, parce qu’ils défendent leur fonds de commerce, sont bien obligés d’essayer de vanter leurs marchandises, de jouer « toujours plus » (t. p.) aux bonneteurs !

    Pour que les clients comprennent, rien n’égale la pseudo démonstration inspirée des mathématiques scolaires trop rudimentaires (Calculs de proportionnalité jusqu’à l’infini, géométrie euclidienne et droites croissant indéfiniment, etc. ! « Si …, alors demain … tout ira mieux » !

    Qui peut encore croire, excepté des croyants rationalistes tel M. Claude Allègre, que notre Société « Toujours plus » ne fonce pas t. p vers le mur et l'écrasement ? ! Bien sûr, les politiciens et autres capitalistes le savent plus que tous les autres ... mais sont coincés dans un engrenage dont-il est impossible de s'extraire sans tomber momentanément en faillite ou/et perdre ses privilèges sociaux !

    **Les hôpitaux, en Île de France, en sont déjà à inviter les malades à apporter des draps et couvertures !

    L’hygiène sera t. p. sommaire ou déficiente, manque de crédits et de personnels !

    Dans ce contexte incontournable, l’état des centres de soins palliatifs suivra !

    Ils sont déjà en nombre nettement insuffisant, t. p. dans l’impossibilité de faire face aux t. p. pressantes suppliques, faute d’euthanasie !

    C) ***Les vieux, non rentables, seront t. p. délaissés que les autres, faute de place, dans des couloirs devenus mouroirs tels ceux des siècles passés !

    **** Si vous voulez vraiment persister à mourir comme des vrais chrétiens d’antan, ressentir un peu la souffrance du Christ, élisez le tandem « Sarkozy-Boutin » ! Vous aurez tout gagné !

    Pierre Payen (Dunkerque) Le jour de Pâques 2012 ! AMEN !

    N. B. Cela étant noté, notre destin est maintenant tout tracé puisque nous sommes des êtres fractals, c. à d. ayant pour caractéristique la répétitivité, l’absence d’évolution mentale.

     

    Si les scientifiques sont d’accord avec le constat que rien n’a évolué mentalement depuis l’arrivée de l’homo dit sapiens, J.-F. Kahn se trompe-t-il quand il écrit « Tout change parce que rien ne change » ? !

    En 2005, une occasion exceptionnelle aurait pu nous inciter à faire le point sur ce que nous étions réellement, à évacuer les nombreux mythes tendant à nous définir, tel « L’homme a été créé à l’image de Dieu » (Genèse Ch. 9.6).

    Le résultat de l’étude comparative de notre génome et de celui du chimpanzé (révélant ou confirmant une différence voisine de 1 %) fut enterré à l’unanimité par les croyants et les rationalistes ! L’image du « bonobo boosté » apparaissait inconcevable !

    En 2007, M. Sarkozy fut élu avec la complicité de ses adversaires et des journalistes qui ne

    En 2011, l’affaire DSK aurait pu servir de catalyseur, libérer la parole des femmes, faire émerger l’influence dévastatrice et parfois délétère de la puissance du « cerveau des émotions » si elle n’est pas maîtrisée, à fortiori si les rôles des trois composantes du cerveau homo sapiens ont été délaissés puisque occultés (ou presque).

    -Bizarrement, quels que soient les articles, notamment féministes, jamais (jusqu’à ce jour !), la non maîtrise du cerveau des émotions, ne fut placée en exergue alors que celle-ci influence en permanence tous nos comportements, a été le ressort de l’épanouissement de la Société de consommation avant d’être en train de devenir « toujours plus » la raison de sa perte ou suicide !

    En 2012, Mr. Sarkozy risque d’être réélu de la même façon qu’en 2007 !

    Nous sommes assurément des êtres fractals ! Donc globalement prédéterminés. Notre cycle se termine avant 2080 ! (V. sur Internet « Les arbres de l’évolution » de Nottale, Chaline, Grou !)

    Cordialement

    ANB Amusons-nous bien en attendant la fin de cette civilisation religieuse, la nouvelle Ere  et les "hommes vrais" !

     Xyzabcd !

     

                ~~~~~~~ UN AJOUT … pour répondre à diverses critiques …. ~~~~~~~

    N. B. Je me suis contenté d’aborder le problème de la mort de manière pragmatique.

    Il est clair que, philosophiquement, quoi de plus harmonieux que de partir dans la « dignité humaine », c. à d. sous anesthésie, selon son choix, sa « conscience humaine » !

    La loi Leonetti est celle d’un expert en jésuitisme recruté par M. Sarkozy et Me Boutin pour tenter de faire mieux passer la pilule nommée « Euthanasie » ! Tellement l’injustice entre le traitement des riches (qui disposent toujours de la solution ad hoc, de l’aide d’un médecin sympathique prêt à abréger définitivement la souffrance totalement inutile d’un malade en fin de vie) et celui des pauvres (obligés d’agoniser, de lapider parfois des jours, des mois ou des années : voir le cas de Francis Humbert) est patent et plus que scandaleux, horrible, monstrueux !  Cette sensation surgit immédiatement quand apparaît le visage de Me Boutin à la Télévision en train d’insulter  (presque) Me Chantal Sébire qui vient d’écrire à M. Sarkozy pour obtenir l’autorisation de mourir en  « … se déclarant « scandalisée qu'on puisse envisager de donner la mort à cette femme parce qu'elle souffre et qu'elle est difforme » …

    Mais l’homo dit sapiens est tout sauf « sage » !

    Il ne sait que construire des mots, des expressions, avant de les confondre avec les choses ! A tous les niveaux et en permanence ce décalage se manifeste au détriment, évidemment, des faibles, selon les règles du monde animal, le nôtre ! (Voir la fameuse devise révolutionnaire : « Liberté, Egalité, Fraternité » !)

    Nous avons juste réussi à imaginer que le dit « homme » avait été créé à l’image de Dieu !

    ~ Mais nous n’avons même pas encore été « fichus » (ou « capables » pour parler « bien » !) d’assimiler que tout est quasiment « cyclique » dans l’Univers, excepté pendant les points de rupture et/ou les moments de discontinuité ! Ni même de saisir le rôle fondamental du « principe de symétrie » !

    Comme les animaux, nous nous contentons d’essayer de profiter de tout ce qui se présente !

    L’art de réussir sa vie consiste souvent à suivre le principe : « Même si tout ne va pas très bien, il faut s’efforcer d’oublier le mauvais pour ne garder que le bon côté des choses » ! ! !

    ~~ Parallèlement ou à décharge, il n’est pas possible de demander à un être dont le génome se différencie d’environ 1% de celui du chimpanzé d’être cohérent !

    Un individu gouverné par le « cerveau reptilien » et le « cerveau des émotions », qui a tendance (V. les observations de Freud datant des années 19820) à suivre le « principe de plaisir » (Sous la dictée du cerveau des émotions dont la démarche est uniquement analogique, basée sur sa boîte de données ou souvenirs plus ou moins agréables ou désagréables) au détriment du « principe de réalité » (géré par l’analyse du « néocortex ») , ne peut aller très loin sans se heurter à de  multiples obstacles, notamment à ceux engendrés par la « loi de la jungle » !

    Cette caractéristique n’intervient-elle pas dans le fait qu’une femme meurt tous les 2 ou 3 jours suite à des violences conjugales en France en 2010 ! Et dans les ~ 75 000 viols (parmi les ~ 190 000 tentatives) ? !

    L’affaire DSK du 14 mai 2011 ne fournit-elle pas une autre illustration plus que concrète ? !

    Il faudra probablement attendre la nouvelle Ère, très prochaine puisque la Société « Toujours plus » est en train de se suicider, pour que le 1er droit de « l’homme vrai » soit celui de programmer la durée de  son séjour terrestre à sa guise ! Pour que la priorité soit l’aménagement au mieux de chaque séquence du parcours, notamment de la vieillesse et de la mort ou du départ vers le cycle suivant ou l’Après-vie !